Demande d'entretien avec le mizukage

La fin de la journée approchait et la Mizukage parcourait les rues, exténuer, salua les gens en essayant de sourire le plus possible. Enfin elle arriva au batîment et les gardes l'accueillèrent en souriant.

- Servez moi du thé s'il vous plait! Dit elle a vout de souffle aux gardes qui s 'exécutèrent tandis que Shinji s'approcha d'elle.

- Je sais que tu n'aimes pas recevoir de visite après 17h mais, il y quelqu'un qui voudrait te voir. Dit il d'un air embarrassé, pret a recevoir un tas de sermont de la part de la kage. Mais ce ne fut pas le cas, elle prit un air appeuré.
- Ce n'est pas...? dit elle d'une voix tremblante.
- non.. pas de lelouch a l'horizon. En faite, c'est une assez jolie fille qui vien de Konoha. Haruka prit un air soulagé et parti en direction de la salle d'attend suivit de Shinji.

Arrivé, il pointa la fameuse Shinobis et Haruka avanca vers elle le sourire au lèvre.
- Bienvenue a Kiri, Chère Kunoichi de Ea ( hrpg:oups désolé Akura), que Puis-je faire pour vous ^_^ ?

Hrpg: C'est pas grave après tout c'est bien Konoha ^^

-Bienvenue a Kiri, Chère Kunoichi d'Ea, que Puis-je faire pour vous ^_^ ?

Akura observa Haruka. C'était rare, mais cette kunoichi lui inspirait confiance... elle décida d'être honnête.

Elle tendit la main à Haruka.

-Je me présente: Akura, Kage du nouveau village d'Ea... je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler de mon village...

Akura souriait, ce qui lui était devenu difficile dans cet endroit qui lui rappelait tant son passé... mais elle ne voulait pas rendre Haruka plus pâle qu'elle ne l'était...

*Je vais être gentille... ça vaut mieux...*

Elle reprit:

-Mon village et votre village sont tous deux de petites forces militaires, éloignés des autres villages... je suis venue vous proposer une alliance, dont les termes, si vous les acceptez, seront les suivants:
Ea aidera Kiri quand Kiri en aura besoin... et mon village demandera la même chose en retou...

Elle entendit un bruit... le lancer d'une arme. Avec une rapidité surhumaine, elle bloqua le shuriken qui se planta dans le dos de sa main au lieu de finir dans l'épaule d'Haruka. Sans faire un seul geste pour enlever l'arme, elle sourit à Haruka en disant:

-De plus, je crois que vous allez avoir besoin d'aide... quelqu'un vous en veut... ça se voit sur votre visage...
Alors, acceptez-vous ma proposition?

Haruka écouta la proposition d'Akura avec attention. Cette jeune fille semblait quelqu'un de bien et elle entendit parler de son village, Ea No Kuni, d'une manière positive. Tout en continuant de lui sourire, Haruka senti l'attaque et fit une glissade sur le côté. Par la suite elle releva la tête vers Akura pour voir si elle était blessée. Le shuriken de l'attaque c'était planté dans sa main. Haruka prit le temps de lui répondre sincèrement:

- J'accepte l'alliance avec joie ^_^ et les conditions également,mais pour le reste, j'ai bien peur de vous demandez de ne pas vous en mêler...pour l'instant, c'est quelque chose qui me concerne, et pas mon village et je ne voudrais pas mettre votre vie en danger, si c'était la cas, je ne me le pardonnerais jamais.

Suite a ses parole, elle s'approcha de la blessure d'Akura pour lui retirer le Shuriken et elle utilisa une technique médicale pour guérir sa blessure. Par la suite, elle se mit face à d'où venait l'attaque et il n'y avait personne.

- Lelouch, si c'est toi attend qu'on soit seuls...s'il te plait.

Aucune réponse....

Hrpg: désolé Akura, tu n'es pas dut tout Konoha, petite erreur d'innatention ^_^ pardon.

-...si c'était la cas, je ne me le pardonnerais jamais.

Akura recula, comme frappée. Son visage avait pâli...

Il y avait longtemps, elle avait rencontré quelqu'un qui lui avait dit la même chose. Alors peut-être que...

D'une voix incertaine, elle articula:

-Connaîtriez-vous un shinobi du nom de... Haku?

Elle s'en voulait d'avoir posé cette question. Elle s'en voulait d'être restée aussi faible. Mais elle avait besoin d'une réponse, comme un enfant qui aurait besoin de son doudou. Même si son passé lui écorchait l'âme encore maintenant, elle devait savoir pour ne pas s'enfuir comme elle l'avait craint. Elle attendit la réponse, plus anxieuse que jamais, essayant de cacher ses sentiments...

Pourquoi quelqu'un se serait donné la peine de faire attention à elle? Pourquoi quelqu'un voudrait la soigner? Voilà des questions qu'elle n'osait pas poser. De peur qu'on lui réponde: "Par pure pitié".

- Haku...?... Cela me dit quelque chose... Il était de Kiri avant. C'est tout ce dont je me rapelle, mais pourquoi me demandez-vous cela ^_^, est-ce quelqu'un que vous recherchez depuis longtemps, quelqu'un qui est cher a vos yeux?

Akura écarquilla ses yeux. A l'intérieur d'elle, quelque chose hurlait. Les souvenirs l'envahissaient, l'emmenant au plus profond de sa douleur, de son passé...


-Je... je ne veux pas te perdre.
-... Je serai très prudent. Je te le promet.
-Pourquoi je ne peux pas vous accompagner? J'aurais pu vous aider...
-Calme-toi. Si tu t'inquiètes, tu ne vas pas me faire dormir...
-Si tu meurs, je ne me le pardonnerais pas...

Son amour pour lui menaçait de faire éclater son coeur, comme la tristesse de replonger en son passé...

- Si vous ne voulez pas en parler, je comprendrai.

Akura se retint de pleurer...

-Non... c'était... un ami, mais... je l'ai perdu de vue...

*Enfin... j'ai dû le protéger en l'éloignant de moi...*

Les yeux d'Akura étaient devenus humides. Elle soupira, et fixa Haruka sentencieusement:

-Merci d'avoir accepté l'alliance entre nos deux pays. Soyez-en certaine, Ea ne vous décevra pas.

Akura sourit au Mizukage. C'était quelqu'un de très gentil, elle l'avait compris. Elle la remercia chaleureusement avant de s'en aller, soi-disant pour "faire du tourisme".

Elle ne savait pas ce qui l'avait poussé à se confier à Haruka. Elle s'en voulait grandement.

*Qu'est-ce qui t'arrives, Akura? Ce n'est pas comme ça que tu vas survivre... tu dois protéger ton village, c'est maintenant ta préoccupation... ouais...*

Elle avait mal à la tête. Contrairement à l'accueil de Konoha, l'accueil de ce village qui lui avait fait tant de mal était bien. Elle avait froid. Comme en ce jour de neige où... pour la première fois...