Sweet Suicide

Akura marchait d'un pas vif, tandis que le poison finissait de se répandre dans ses veines. Au bout d'un instant, à bout de souffle, elle tomba à genoux. L'endroit où elle se trouvait était un coin de nature charmant, typique du paysage asiatique, du jardin d'Orient. Un petit temple avait été placé plus loin, elle ne lui accorda pas un regard. On pouvait entendre le bruissement des feuilles et voir la lumière découper grâce à l'ombre des feuilles de motifs splendides sur l'herbe fraîche. Des bambous poussaient ici-et-là, s'ajoutant humblement à la beauté du paysage. Le ciel matinal était beau. Quelques nuages noir s'annonçaient au loin, signe de la victoire des démons. Akura eut un pâle sourire: Quel bel endroit pour mourir...

Sa main était tremblante. Pourtant, se tuer, Akura l'avait déjà essayé, et ça ne lui avait jamais fait peur. Seulement, depuis quelques temps, elle avait cru que la vie était douce... et belle. Aussi belle que ce coin de nature... que ce ciel. Elle observa le chemin de pierres blanches sur lequel elle était agenouillée, puis après avoir pris une grande inspiration, sortit son arme. C'était le katana des Higure. L'arme rayonnait, et Akura inspirait en la pointant contre son ventre. Elle voulait mourir avec pour seule pensée la douleur qu'elle ressentirait à ce moment
La voix de Kara résonna dans sa tête.

"Akura..."

*Je sais; tu n'auras pas réussi ton oeuvre. Mais c'est la seule solution. Et tu sais que je peux garder le sabre enfoncé dans la plaie, alors n'interviens pas.*

"En réalité, je devrais être contente, mais tu m'amusais... enfin bon, j'essayerai de trouver quelqu'un comme toi... même si je sais très bien que tu es unique..."

Akura regarda la lame qui scintillait sous les rayons de soleil. Elle respirait profondément, savourant chaque instant de vie avant la fin. La fin définitive de son être. Son âme à ses cotés s'allongea dans l'herbe, et ferma les yeux. La kunoichi, pour la première fois de sa vie, se rendit compte qu'elle n'était pas habillée en noir; elle portait un kimono de cérémonie blanc comme neige. Elle inspira, expira une dernière fois... une larme perla au coin de ses yeux noirs corbeau. Elle murmura faiblement:

-Adieu.

... et enfonça la lame dans son ventre, déchirant le tissu, la chair, l'estomac... son kimono se teinta de sang. Elle observa le phénomène, amusée, tandis que la douleur se répandait violemment dans son corps. Elle tremblait, mais gardait sa position de servitude. "Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux". Et bien, elle, mourrait à genoux. Quoique... Elle glissa sur les pavés écarlates, et sa tête se heurta à l'un d'entre eux. Son âme tressaillit, se débattit, comme prisonnière d'un mauvais rêve. Akura étala ses deux bras de chaque coté de sa tête, comme crucifiée, dans un dernier effort. Alors elle regarda une dernière fois le ciel, si bleu. Puis elle ne vit plus que du rouge. Elle allait se vider de son sang... il était trop tard pour regretter. Elle savait que si personne ne la soignait, elle allait simplement arrêter d'exister. Elle n'avait aucun remords. Mais Akura fut encore capable de penser à tous ceux qui l'avaient soutenu, puis lentement elle sombra dans un coma post-mortem...

Pourquoi il faut que tu sois toujours comme ça? Que vas tu faire après être morte?....

Eichiro avait envie de voir autre chose que le village d'Ea. Il sorti des portes tout en saluant les gardes. Il marcha quelque temps et s'assit dans un cooin d'herbes. Il regarda les nuages. Cette fois çi, il y avait comme une lutte entre eux. D'un côté les noirs de l'autre les blancs. Eichiro ne croyait en aucun signe du destin sauf les nuages. Cette lutte commençait à peine car ce n'étaient que la fin des préparatifs. Eichiro rentra, il se dit qu'il reviendra demain. Le lendemain, il revint tôt le matin. Il regarda la progression de la bataille. Le jeu été très serrés, mais les noirs était en train de vaincre. Eichiro eu alors un mal au ventre comme si on lui arraché quelqu'un. Mais la douleur devenait moins puissant quelque fois et reprenait de plus belle. Eichiro eu alors un flash. Sa douleur été en fonction dela bataille des nuages. Eichiro s'alarma et couru là où son coeur l'emmenait. Quelque soit la douleur qu'il ressentait, il continua à courir. Courir comme il ne l'avait jamais fait. Il traversa toutes sortes de reliefs, pour arriver enfin dans un coin de paysage asiatique. A partir de ce moment là, la douleur battait son plein. Il n'en avait plus pour longtemps. Il ne pouvait plus voir les nuages bien sur, mais il ressentait quand même. Il cgercha des yeux la seul chose qui l'avait ammené ici. Il vit alors Akura par terre, teinté de sang dans un kimono de ceremonie. Il l'entendit dire "adieu", sa dernière parole avant de sombrer dans ce coma. Eichiro s'approcha, les larmes aux yeux. Il chercha à savoir si elle était encore en vie. Eichiro vit que son pouls battait encore et qu'il allait bientôt s'arrêté. Eichiro s'assit alors à côté d'elle.

"Akura...... Cette fois-ci, je vais respecter la promesse que je t'ai faite. Et puis mourir été ton choix... Tu l'as fait pour nous, pour ne pas que l'on ai encore à avoir à subir les malheurs de Kara..... Mais tu ne c'est pas ce que tu vien de nous faire subir, à moi et à Akiyo, quand je lui dirai la nouvelle.... je ne sias même pas si j'en aurai la force..... C'est vrai, je ne sais pas ce que tu as vécu pendant ton enfance, mais j'ai toujours essayé de te consolé, de t'aider à surpasser les épreuves. .. J'aimerai te dire quelque chose... C'est grâce à toi que j'air réussi tous ça, tu était ma lumière.... Et maintenant tu t'éteint.............. Je t'aime Akura"

Eichiro avait dit cela en pleurant. Il passa sa main dans ses cheveux et lui donna un dernier baiser. Il voulut mourir ici, avec elle. Il enleva la bague d'Akura, lança des cristaux de glace dessus. La bague était alors d'un côté rouge, de l'autre glace et au milieu, unelueur, tout l'amour d'Eichiro qu'il avait pour elle, puis la remit à sa place. Eichiro tomba alors lui aussi, dans un coma, mais ce n'était un coma de tristesse...

Les pas d'Akiyo l'avait menée aux Montagnes. Sans qu'elle le sache pourquoi, elle sentait que c'était en ce lieu, si paisible en apparence mais source de tant de drames, qu'allait se jouer le dernier acte. Elle tremblait maintenant, et son esprit était délirant de fièvre. Comme la haine l'avait soutenue quelques instants auparavant, l'urgence seule lui donnait la force d'avancer. Et elle ne pouvait se défaire du sentiment terrible d'arriver trop tard.

Elle traversa le paisible jardin d'Orient sans se donner la peine de le regarder. Elle courait maintenant, enfin elle tentait de courir, traînant sa carcasse, des soleils rouges dansant devant ses yeux. Elle tomba. Se releva.

Elle arrivait trop tard.

Elle arrivait trop tard.

Enfin elle les vit. Eichiro était tombé, à côté d'elle, des larmes perlant encore à ses paupières. Il ne semblait porter aucune blessure. Et Akura reposait, bras écartés comme pour englober le ciel, une large fleur rouge épanouie sur son kimono blanc. L'arme des Higure avait glissé à ses côtés, son bel éclat terni par l'horreur de son acte.

Son coeur s'arrêta. Elle tomba à genoux.

Elle maudit tous les Higure, et leur famille qui lui avait donné la vie. Elle maudit Hachibi. Elle se maudit surtout, elle se maudit elle même plus que tous les autres.

Fébrile, elle forma un ninjutsu médical, dans lequel elle injecta une énorme quantité de Chakra. Il se déposa sur les deux corps, mais n'eut aucun effet. Eichiro était toujours dans le coma, mais lui, au moins, était techniquement vivant, même si son corps avait renoncé à la vie. Akura était morte. Les bords de sa plaie se refermèrent lentement sous l'action du jutsu, mais ce fut tout. Elle n'ouvrit pas les yeux. Sa joue était froide comme la pierre.

Akiyo se rendit alors compte que toute sa médecine ne pourrait rien. Ce fut comme si son âme se déchirait en mille morceaux. Il n'y eut plus de réel.

Elle tomba, se prit le visage dans les mains. Ses ongles s'enfonçaient dans sa peau mais elle n'y prit pas garde. Elle pleurait. Elle hurlait.

-Akuraaaaa !!!! Pourquoi t'es-tu sacrifiée? Pourquoi es-tu morte pour me sauver? Je ne le mérite pas... Je suis tellement basse, tellement vile, tellement faible. Toi, tu es forte.... Alors pourquoi? Quand je pense à tout le mal que je t'ai fait...

Elle les regarda. Le coma les apaisait, et ils ne paraissaient pas souffrir, mais elle souffrait. La honte la submergeait, et elle murmura ces derniers mots à travers ses larmes.

-Eichiro... Akura... Je vous ai tués...

Pourquoi vivait-elle alors qu'eux avaient disparu pour toujours?...

Toujours... Toujours... Il y avait une solution. Une solution terrible, certes, mais elle était prête à en assumer les conséquences. N'importe quoi... pourvu qu'ils reviennent.
Ses mains tremblèrent lorsqu'elle réalisa les signes.Sa voix blanche et figée n'était plus qu'un souffle.

-Ninpô !!! Isshou no Chuudan' !!!

Et le temps s'arrêta. La sueur et le sang coulaient dans les yeux d'Akiyo, mais elle ne devait pas se tromper. Elle effectuait le jutsu le plus difficile de sa vie, et celui dont la réussite ou l'échec aurait le plus d'impact. Elle doutait de la possibilité de son acte, mais elle ne pouvait tenter aucune autre chose. Et puis, elle n'avait plus rien à perdre.

Lentement, elle concentra le champ de la technique sur les deux corps placés devant elle. Venait maintenant la partie la plus difficile de l'acte. La technique était censée arrêter le temps, mais en y mettant assez de puissance... Elle s'arrêta. Le corps d'Eichiro se soulevait imperceptiblement. Elle revit, comme dans un rêve, les mouvements qu'il avait effectués auparavant, et suspendit son action lorsqu'il eut remis la bague au doigt d'Akura. Son corps retomba, toujours immobile, mais maintenant libéré de la mort. Il s'éveillerait bientôt.

Les yeux d'Akiyo s'élargissaient à présent, car devant elle se déroulait un spectacle terrible. Elle voyait Akura, la lame dans son ventre, et le sang qui coulait comme une mer. Elle fut tentée de se retourner pour vomir, mais elle fit face, jusqu'au dernier instant.

Les doigts d'Akiyo la brûlaient, et la douleur irradiait peu à peu tout le reste de son être, mais elle ne devait pas s'arrêter. Pour Akura, elle devait remonter bien plus loin. C'est ainsi qu'elle revit les spectres avides de l'armée des ombres se jeter sur elle et la mettre en pièces, qu'elle assista aux tentatives d'Hachibi -ses propres tentatives- pour détruire physiquement et mentalement son amie. Akiyo était secouée de sanglots nerveux. Voici ce qu'elle avait fait. On ne pouvait lui pardonner de tels actes.

Les pointes mortelles du Jigôku s'extrayaient de la peau d'Akura. C'était le moment. Akiyo, épuisée, laissa retomber ses bras meurtris.

On ne joue pas impunément avec le temps, et Akiyo le savait. Mais quelle importance? Ils étaient sauvés. Elle avait réussi. Tant pis pour ce qui pourrait arriver ensuite.
Vidée par l'utilisation de la technique, ses lèvres figés dans un doux sourire, Akiyo s'effondra.

Un jour, il arrive que des être meurent. Akura avait senti le sang couleur hors de son corps, la chaleur la quitter, et sa "dernière" pensée ne fut pas pour la douleur... elle fut pour Akiyo et Eichiro, les deux personnes auxquelles elle tenait le plus. Elle ne sentit pas quand Eichiro arriva. Puis elle cessa de penser, d'avoir conscience. En eut un ultime soubresaut, elle mourût.

Dieu seul pouvait dire combien de temps s'était écoulé jusqu'à l'arrivée d'Akiyo. Akura n'existait plus alors... jusqu'à ce que son amie lui fasse remonter le temps. Elle n'était pas totalement inconsciente, alors elle sentit les aiguilles de poison s'enlever, elle sentit le sang ré-affluer dans son corps... un sang épuré. Très lentement, son coeur se remit à battre. Elle bougea faiblement son bras, puis se releva... en apercevant Eichiro et Akiyo, vivants malgré tout, elle sentit des larmes de joies couler sur ses joues. Puis son inquiétude pris le dessus. Elle se releva, titubant. Deux ANBUs d'Ea en congé passaient justement par là... l'un d'eux s'arrêta:

-A... Akura-sama? Mais que...

-Ce qui est arrivé n'a pas d'importance. Et je vais bien, contrairement aux apparences. S'il vous plaît, amenez Akiyo au service d'urgence de l'hôpital... elle a perdu beaucoup, si ce n'est la totalité de son chakra...

L'autre lui lança, en observant le kimono d'Akura teinté de sang:

-Et vous?

Akura désigna Eichiro.

-... je vais rester près de lui. Maintenant s'il vous plaît occupez-vous de mon bras droit!! Je vais ai dit que j'allais bien!!

Les deux ninjas se téléportèrent, emportant Akiyo à l'hôpital d'Ea. Akura s'assit auprès d'Eichiro, sonnée par sa résurrection...

[HRPG] : La suite à l'hôpital d'Ea

Je ne sais plus où je suis. Il fait noir. Je marche, comme cela, depuis des heures, des heures, il me semble, dans un néant sombre. Mais les secondes ici paraissent durer des heures. Le temps n'est plus. La lumière n'est plus. Les frontières, si elles ont jamais existé dans cet univers, ont disparu à jamais.

Etrangement, dans ces ténèbres, il n'y a aucune tristesse. Aucune peur. Rien et rien d'autre que le vide. A l'image de mon coeur. Mais bientôt, elles m'oppressent d'une façon telle que je ne peux plus le supporter, pour moi qui ai toujours vécu dans la lumière chaude et rassurante du Soleil, ce noir est la mort.

La mort... J'ai l'impression d'avoir laissé échapper quelque chose....

Décidément, ça ne me revient pas. Frustrée, je m'assois en tailleur sur le sol qui n'existe pas, et tente de repousser la pénombre. Ma voix est rauque, comme si elle n'avait pas servi depuis longtemps. Malgré le Katon que j'effectue, aucune flamme ne naît entre mes paumes. Pas le moindre petit éclat. Je ne sais plus quoi faire. Je serre mes genoux contre ma poitrine, et reste là.

Est-ce que c'est mon destin? Est-ce que je vais rester perdue ici à jamais?... Quel que soit cet "ici"...

Non. J'avance. Je me relève. Je continue à marcher, bien que mon pas soit devenu moins pressé, comme si j'avais compris que cette marche ne mènerait à rien. Il n'y a toujours pas un seul mur, et cela en devient désespérant. Et je suis seule. Je ne sais pas ce que sont devenus Akura et Eichiro...

Alors la mémoire me revient. Je me rappelle la technique qui a mis fin à ma vie. Ah, je suis morte. Tout s'éclaire, enfin, façon de parler. Je ne sais toujours pas ce que je fais là. Mais ce fait perd soudain son importance, devant cette interrogation angoissante. Est-ce qu'ils vivent? Est-ce qu'ils vivent? Pitié... je donnerais tout... Si j'étais encore là... je donnerais ma vie... Car c'est par ma faute qu'ils l'ont perdu.

Une voix glaciale a soudain envahi les ténèbres.

"Tu es une meurtrière."

Des visions de cauchemar peuplent soudain mon purgatoire. Les spectres de "mon" armée se jettent sur moi et me traversent, laissant dans mon être un froid de glace. Ils sont nombreux... De plus en plus nombreux... Bientôt, tout le "sol" en est peuplé. Et ils arrivent toujours. Mais le pire n'est pas encore venu. Une image pâle tournoie lentement devant mes yeux, en lévitation à quelques mètres du sol. La distance ne m'empêche pas de voir plus nettement que jamais la lame s'enfoncer dans son ventre. Ses yeux encore ouverts hurlent une accusation.

"Une meurtrière..."

Orochimaru se tient derrière mon dos, et je sursaute quand il pose sa main sur mon épaule. Un mauvais sourire illumine son visage. Dans son rictus, il y a du triomphe, de la jubilation.

-Je suis fier de toi.

Je vais crier. Je crie. Mais déjà, je me tais. Un immense ange a passé dans mon ciel, semblant amener encore plus de ténèbres dans cette atmosphère déjà étouffante. Ses grandes ailes d'ombre brassent l'air autour de lui, le rendant brûlant et vicié. Des plumes noires tombent de ces ailes, et l'une d'entres elles effleure ma paupière. Une douleur immense irradie dans mon oeil droit, comme s'il avait été touché par une coulée d'acide. Me rendant alors compte du danger, je tente d'éviter les plumes, mais elles tombent de plus en plus nombreuses, alors que l'ange descend vers moi. Il est pâle comme une statue antique. Pas même une illusion de sentiment sur son visage blanc et lisse. C'est alors que je me reconnais. Je contemple sans réagir, sans avoir la force de bouger, ces yeux qui sont les miens. Et elle arrache mon coeur.

Je regarde un instant mon coeur palpitant, prisonnier de cette main aux ongles recourbés comme des griffes. Et je tombe à genoux, tandis que mon âme, immolée, se noie dans une explosion de feu.

Tout disparaît.

Un éclat de lumière blanche, vite éteint.

Se passerait-il quelque chose dehors? J'ai l'impression d'avoir bougé... Mais je ne suis plus là. Enfermée dans mon purgatoire, je rêve(?)...

Après la technique d'Akiyo, Eichiro s'était relevé, mais il retomba de sitôt, sonné. Il regarda à ses alentoures, sa vue était floue dût aux larmes qu'il avait laissé couler. Après que sa distinction se fût rétabli, il commença à se demandé se qui se passait. Il vit Akura, assis à côté de lui, avec son kimono de sangainsi que sa blessure était refermé. Eichiro la contemplas. regardant cheque trait de son visage pour savoir si il était dans un rêve ou pas. Après mur reflexion, il se rendit que non. Akura était bien là vivante.Eichiro était alors perturbé, Akura ne pouvait pas revenir à la vie comme cela, quelqu'un a du venir. Et ce quelqu'un, Eichiro le savait, Akiyo. C'était obligatoirement elle car il n'y avait qu'elle qui puisse fair cela.

" Où est Akiyo?..."

Eichiro dit ceci tremblant, car il le savait, ressuciter les gens est à un prix pire qu'élevé. Eichiro se retourna bruquement vers Akura.

"Akura.... tu culpabilise encore pour ce qui c'est passé à Ea..... Même si on t'avais dit que ce n'était rien... on en ai tous resorti indemne, c'est ce qui comptait... Mais toi, tu as eu une blessure.... une blessure qui à atteint ton esprit juqu'à essayé de te suicider....."

Eichiro ne pût dire la suite, cela l'aurai soumis à une trop grosse épreuve, Akiyo une de ses seuls amis, mourrait comme ça. Seulement, il n'avait aucun remord envers Akura, c'était leur choix : celui de se suicider pour Akura et celui de sauver Akura pour Akiyo... malheuresement, Eichiro culpabiliser à son tour....

Akura se tourna brusquement vers Eichiro.

-Je ne me suis pas suicidée parce que JE n'en pouvais plus... il y a quelques heures encore j'étais condamnée, alors j'ai préféré mourir loin... Je suis restée ici pour m'assurer que tu allais bien, mais maintenant une autre présence requiert mon attention... Akiyo a épuisé tout son chakra pour nous sauver. De plus, elle est gravement blessée... je l'ai gravement blessée... alors au revoir...

Elle commença à former des jutsus...

-Ah, et...

Elle déglutis.

-... Merci.

Ce n'était pas ça qu'elle avait voulu dire. Et c'est avec le sentiment d'amertume et d'urgence qu'elle s'était téléportée à l'hôpital.

Eichiro s'en voulai d'avoir parler comme ça à Akura. Il regarda dans le ciel, le nuages noirs commençait à revenir. La vie d'une personne ce jouer maintenant. Eichiro se leva, Et parti en courant pour Ea. Le paysage défilai devant lui, ses pas étaient d'un longuer effroyable. Il arriva en peu de temps à Ea. Passant la porte, il aperçu que tous le vilage était dans un malaise profond, tous avaient entendu une rumeur (qui n'enétait pas une) qu'Akiyo, le bras droit de l'Eakage est au seuil de la mort. Il coura dans l'hopital, ouvrai les portes si ce n'était les fracasser. Il arriva devant la porte de la salle d'urgence. Nombreux de medecins s'affaissait en entrant et en sortant. Eichiro ne pouvait rien faire d'autre que de s'asseoir sur une chaise...

» Home sweet home... -La maison d'Akiyo.