Il était une fois....

Snif, je me rends compte que l'on ne raconte plus d'histoires...

Ecoute j'ai la flemme de tout lire... faudrait en faire une nouvelle parce que celle-là... elle devient franchement n'importe quoi!!

C'était un peu le but, tu sais...
Mais si tu veux recommencer une histoire, vas-y, ouvre le sujet !!! A toi l'honneur.... ^^

Ces vrai que les bulle qui saute alors quon est au debut avecdes tropette
puisl e mec trouve un death note
....sa a dégénéré

Oui... hihihi ^^ Mais ca permet de se lâcher aussi un peu Smile

Y'a des manières plus intelligentes de se lâcher aussi...

Comme la BATTERIE cheers

OU la guitare !!! flower

(dommage quand même que je doive attendre l'année prochaine)

Mais ca ne nous aide pas pour notre sujet tout ça...
Allez...
Il était une fois...

Un jeune manchot vivant sur la banquise. Son enfance avait été rude car son père était mort, sa mère dû le nourrir avec ce que les autres pères rapportaient en trop. Ce manchot n'avait pas de nom particulier, quoique...

Les autres manchots lui avaient donné un surnom. Ils l'appelaient Riiik-Lari-Tal, ce qui signifie en leur langage "celui-qui-est-en-sursis". Bien entendu, ce sobriquet était particulièrement désagréable à l'oreille de notre héros, et son petit coeur d'oiseau se gonflait dès qu'il l'entendait. Ce n'était pourtant pas un manchot d'une nature foncièrement mauvaise. Mais...

Malgré cette blessure et l'exclusion dont il était victime, il nourrissait un rêve encore plus grand que ceux des autres oiseaux qui ne voulaient que partir puis revenir de chez eux. Riiik-Lari-Tal (appelons-le ainsi) ne cessait d'espérer que...

Que.... Que... (je sais pas, là!!! Razz

)

Que vienne le jour où l'ordre établi changerait. Le jour heureux, à marquer d'une pierre blanche, où la glace fondrait et libérerait ce petit coin de banquise, ainsi que le cœur de ses pairs. Sur les étendues d'eau gelée, les journées sont longues et mornes, et ils n'y a pas beaucoup de distractions. Ainsi Riiik-Lari-Tal avait pris le temps de réfléchir à son sort, et il avait compris que rêver ne suffisait pas; il fallait agir.
Mais agir n'était pas facile, sous le règne du Grand Empereur Blanc.

On surnomme les manchots les empereurs. Si seulement les gens qui les appellent ainsi savaient qu'il n'y en a qu'un, choisit pour sa force et qui dirige son "peuple" avec tyrannie, bannissant la moindre des différences... Riiik-Lari-Tal souffrait par empathie pour ses amis. Il souffrait car bientôt viendrait son tour de servir l'empereur cruel...

(ah, c'est trop bien Akura, tu lis dans mes pensées... exactement ce que je voulais écrire ^^)

Et celui-là, qu'on traitait avec une déférence et un respect tous particuliers, dépassait en barbarie les dictateurs les plus aguerris. Jamais, en des siècles de règnes divers qui s'était succédés sur la banquise, on n'avait connu joug si redoutable. Le peuple manchot tout entier gémissait sous sa férule cruelle, et leur souffrance augmentait encore avec l'arrivée de la deuxième Lune du troisième mois, car, à cette époque, l'Empereur demandait aux familles 12 jeunes gens et 12 jeunes filles. Les pauvres manchots étaient emmenés dans son antre de glace, et jamais on ne les revoyait. Mais on prétendait que leurs âmes, changées en fantômes de sang, erraient ensuite pour toujours dans les steppes désolées...

Et pourtant Riiik-Lari-Tal n'en avait pas peur. Il était bien obligé car un jour qu'il nageait deux grands manchots l'emmenèrent pour qu'il rencontre l'empereur... lui qui était de nature calme commença à paniquer quand ils arrivèrent devant l'antre de l'empereur; il avait l'impression que les fantômes du passé resurgissaient pour hanter les vivants...

Et, tandis qu'il remontait la longue allée de glace qui lui renvoyait mille images différentes de lui-même, il ne pouvait s'empêcher de penser combien ces reflets -et leur modèle- paraissaient pitoyables... Ses pattes tremblaient tellement qu'elles faillirent se dérober sous lui lorsqu'il se retrouva face au trône.
De là-haut, le Grand Empereur Blanc lui jeta un regard acide.
Frissonnants, tous retenaient leur souffle lorsqu'il prit la parole en ces termes :
"-