Mission d'Akiyo n°2 : Petite enquête...

[HRPG] : -Ceci est censé se jouer devant l'entrée de la grotte de l'Akatsuki, mais comme il n'y a pas de topic "entrée", je me vois dans l'obligation de le déplacer ici ^^
-Désolée Itachi, mais telle est ma mission

Akiyo était partie. Elle avait quitté Ea, transformée par la rencontre qu'elle venait de faire, et par la nouvelle technique qu'elle avait apprise. Elle contempla une dernière fois les toits perdus dans la brume. Elle reviendrait vite... Elle s'engageait sur la route de terre avec un regain d'enthousiasme. Son poing était serré sur la lame fine et légère d'un katana, ses pas imprimaient dans le sol meuble des empreintes farouches et décidées. Elle avait confiance. Une lumière nouvelle luisait dans ses yeux.

Elle se demandait simplement comment trouver le repère d'une association que sa notoriété n'empêchait pas de camoufler soigneusement. Cette question avait occupé toute sa première journée de recherches. Elle n'avait finalement abouti à rien, mais ne se décourageait pas pour autant. Elle n'avait besoin que d'un peu de temps... Elle y repensait en s'attablant à la table d'un restaurant de Taki no Kuni où elle prenait son seul repas du jour. Elle avait été tellement absorbée par sa tâche qu'elle n'avait même pas pensé à ce genre de détails secondaires. Mais elle se rendait compte à présent qu'elle en avait besoin. Elle profitait un instant de la lumière et de la chaleur avant de continuer sa besogne faite d'ombres.

Devant un bol de ramen fumant, Akiyo réflechissait. Elle aimait bien Taki, car ce village, du fait de sa faible force militaire, avait conservé une neutralité prudente. Ici les shinobi de toutes origines pouvaient accéder à un peu de repos. Mais ce n'était sûrement pas en restant dans cet endroit trop tranquille qu'elle allait faire avancer sa mission. Quoique...

Les bruits étouffés d'une conversation attirèrent son attention. Les silhouettes de deux hommes se découpaient en ombres chinoises derrière le paravent orné d'oiseaux. Le plus petit semblait agité, il levait les bras au ciel avec de grands effets de manches. Des paroles éparses parvenaient aux oreilles de la jeune shinobi qui portait les nouilles transparentes à ses lèvres. Elle suspendit son geste, se faisant attentive.
"dix coups de kunai"... "un fameux butin"..."...ingan."

Comment n'y avait-elle pas pensé plus tôt? Elle s'était laissé abuser par le calme apparent de ce lieu, avait pensé que rien d'exaltant ne pourrait jamais s'y produire. Mais au contraire... Ce monde flou, caché, celui des maisons de boisson, des jeux où l'on perd plus que la vie, ce monde des trafics, celui où règnent sans partage les tenanciers et les petits truands, où les guerres sont plus nombreuses et plus infimes que celles qui opposent les grandes nations... C'était dans ce monde qu'elle aurait le plus de chances de trouver ce qu'elle cherchait.

Peu de temps plus tard, le patron du faussement paisible restaurant de ramen reçut la visite d'une inconnue. Par le plus grand des hasards, le soir de son arrivée, l'un de ses employés fut retrouvé sur le pavé de la rue principale de Taki, exsangue. Ce garçon, aux dires de certaines de ses connaissances, était mêlé à plusieurs histoires des plus louches. Le patron eut un soupir de compassion, et engagea sur-le-champ la jeune femme au poste de serveuse. Akiyo eut un sourire étrange, le genre de sourire que pourrait avoir un prédateur face à une proie particulièrement délicieuse. Elle y était.

Cinq jours.

Cinq longs jours passés à dissimuler sa véritable nature, à servir du saké chaud et des thés divers, à écumer le soir les endroits où l'on jouait, à passer et repasser dans les chemins de terre pour saisir au vol les conversations du petit peuple des bas-fonds. Tout d'abord, Akiyo resta dans le restaurant qui l'employait, mis à part une histoire qui lui arriva, mais qu'il n'est pas ici la peine de raconter (voir entraînement n°). Elle se montrait douce et calme, prévenante, attentive, et le patron n'eut pas à se plaindre de ses services. Elle devint même la préférée des habitués du lieu. Sa voix se faisait aussi douce que la soie, sa démarche effacée et gracieuse. Mais, tandis qu'elle portait les plateaux chargés de soupes brûlantes, qu'elle chantait, le soir, des airs languides et envoûtants, son coeur était tout autre. Elle tissait sa toile.

Elle était actrice, et tenait son rôle du début à la fin. Parfois, elle ne pouvait faire autrement que de se dévoiler, et l'un des clients frissonnait en voyant son regard, glacé, fixe, attentif, comme celui d'un chasseur aux aguets, mais l'instant d'après, cette désagréable impression s'était effacée, et, devant les yeux pleins d'inquiétude de la jeune serveuse, le client confus croyait avoir été victime d'un effet de son imagination. Ici, elle avait appris qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, et à présent, elle appliquait ce principe à la lettre. Elle se faisait discrète au point d'être oubliée, se fondant dans le décor aussi sûrement que par un camouflage, et devant elle, les hommes parlaient en toute liberté

Elle apprit ainsi de nombreuses choses, utiles et moins utiles. Mille et une façons de tricher au bonneteau, la voie de l'ikebana, la différence entre le bon et le mauvais sake, la géographie complète de Taki no Kuni -passages secrets y compris-... mais d'Akatsuki, point. A croire qu'ils avaient cessé toute activité.

Jusqu'à ce jour où un convoi lourdement chargé fit son apparition dans le village de Taki. Akiyo se trouvait dans la cour minuscule du restaurant quand des hommes portant des caisses se pressèrent à l'entrée. Harassés, il entraient en foule dans le restaurant déjà surchargé, en demandant, qui un bol du plus consistant des ramens que l'on puisse trouver, qui un remontant, qui quelque chose de léger -le traumatisme en avait choqué certains au point qu'ils ne pouvaient plus rien avaler. Akiyo s'affairait à servir tout ce beau monde, l'oreille toujours tendue au tissu de paroles chuchotées qui bruissaient dans la pièce enfumée. Soudain, son visage s'éclaira, d'une rayonnante expression de triomphe -triomphe très vite ravalé, masqué derrière une façade d'empressement. Ils avaient eu affaire à l'Akatsuki.

D'après ce qu'elle put saisir, en arrangeant des roses et des brins de cerisier de façon artistique dans un vase, ces hommes transportaient une cargaison de matériel -le fait qu'il ne s'étendent pas dessus devait vouloir dire que leur affaire n'était pas des plus claires-, de Konoha à Taki. En traversant la forêt, ils était passés devant un cours d'eau bouillonnant. Sur l'autre rive se trouvait une caverne fermée d'un large sceau, qu'ils ont reconnue très vite comme étant celle de l'Akatsuki. Il faut dire que cette association était connue et redoutée à Konoha et de nombreux ninjas en avaient entendu parler... Akiyo eut soudain une irrépressible envie de rire. C'était comme si ils avaient marqué « Repère secret de l'Akatsuki » sur le front de leur porte. Terriblement discret. Quoi qu'il en soit, elle savait maintenant où ils se terraient.

Akiyo partit du restaurant comme une ombre, pour ne plus revenir.

Devant la caverne, Akiyo s'arrêta, contemplant le parchemin intact. Devait-elle ou non briser le sceau?

Le soir tombait. Le silence se faisait progressivement dans les arbres. Une Lune argentine se levait au-dessus de sa tête. Lentement, dans la nature autour d'elle, naissait comme une tension. Les choses sérieuses commençaient.

La jeune kunoichi réfléchit un instant. Elle se mit à rassembler ce qu'elle savait de l'Akatsuki, ce qu'elle avait appris de l'époque où il vivait encore à Konoha, ce que lui en avait dit sa Kage.

« Je sais qu'ils traquent les Bijuus. »

Briser la barrière qu'ils avaient édifié ne serait pas très discret. Elle devait éviter de se dévoiler.

« Je dois avoir une longueur d'avance. »

Très bien. La fête pouvait commencer. Elle joignit les mains, et, dans la nuit tombante, effectua des signes. Sa voix murmura, pareille au souffle du vent :

-Asahi Bunshin no Jutsu !

Un, deux, trois, quatre de ses clones apparurent. Elle se mit à escalader la paroi de la caverne, et, lentement, en prenant bien garde à ne faire tomber aucune pierre, en atteignit le point le plus haut. Sur un geste du bras, les clones se dissimulèrent dans la végétation, deux de chaque côté de la grotte. Quant à elle, elle restait fixée sur l'astre du soir, qui la baignait d'une lueur opaline. Elle devait être indétectable.

-Ninpô, Bimyou Meisai !!!

Elle sourit en constatant que les rayons de la Lune semblaient la traverser. Embusquée du haut de son promontoire de roc, elle se plaqua contre la pierre, invisible. Elle était patiente. Quelqu'un finirait bien par sortir. Et si cela n'arrivait pas, alors elle défoncerait la porte. Tant pis pour l'effet de surprise... En attendant, elle fouillait la nuit du regard. La prédatrice veillait.

[Hrpg mais c'est pas grave ....
Tu es la seule personne qui poste par ici avec moi ^^ alors ...]

Akiyo regardant le ciel tout en veillant de ne pas perdre laa vue l'entrée de la grotte attendait.Quand elle fixa la grotte voyant une lumière aparaitre.

"Mokuton l'atachement des lianes."

Les lianes s'atachèrent a Akiyo qui essaya de se debattre. Sak apparu devant Akiyo. Il se baissa à la matrix en arrière.
Akiyo eu a peine le temps de se retourner quand....

"hum hum

-KATON RENDAN !"

Sak fit un brusque mouvement des main pour relacher Akiyo
Après une violente pluie de coup elle était presque sur le point de tomber a terre Sak sauta et elles afligèrent le coup final de la technique a 2...

"Double Finish attaque !!!"

[HRPG] : Désolée Max, je n'ai pas le temps de te répondre maintenant, il faut que j'aille au jap'...
Dis, je ne sais pas si tu as le droit de me faire agir dans un RP... faudrait que tu revoies ca...

[ je sais pas Xd... si sa te gene dis moi se que tu veux que je remplace]

[HRPG] : En théorie, en rp, on est censé agir que sur son propre personnage... Et les PNJ que sont tes subordonnés... Ne t'inquiète pas, moi non plus je ne le savais pas quand j'ai commencé... Je suis pas vache, je vais pas te faire rééditer ton post si tu ne veux pas, je comprends que tu trouves ca fatiguant, mais souviens-toi pour la suite : ne bouge que ton propre perso, pas moi !!! ^^

-Hahahaha !!!!

Akiyo partit d'un grand rire en se voyant "perdue". Un rire qui aurait sans doute amené les deux subalternes qui se trouvaient devant elle à croire qu'elle était une dangereuse psychopathe. Mais elle s'en fichait bien. Les shinobi auxquels elle se mesurait ne la connaissant pas, ils ne pouvaient pas la juger. De plus, elle avait entendu durant son périple de nombreuses rumeurs concernant Akatsuki, et elle devinait que des psychopathes, ils devaient en voir tous les jours.

Le corps de la jeune kunoichi était marbré de blessures. Si les deux combattants en avaient su davantage sur celle à laquelle ils avaient affaire, ils auraient sûrement compris que c'était louche. Mais ils ne savaient rien. Ce n'étaient, après tout, que des pions, situés tout en bas de l'échelle de l'organisation.

Le clone qu'Akiyo avait posté, et qui s'était fait enserrer par les lianes à sa place disparut dans un grand nuage de fumée. Akiyo elle-même sauta lestement du rocher, en haut de la grotte, où elle s'était tenue en embuscade. Elle atterrit devant les deux ninjas, qu'elle jaugea du regard.

- Alors comme cela vous pensiez me prendre par surprise? Je vous attendais.

Akiyo n'aimait pas trop faire usage de ses clones comme un leurre, et elle était étonnée qu'une tactique aussi frustre marche encore. Elle toisa ses adversaires en souriant, mains sur les hanches dans une attitude de défi. Lamentable. Mais il ne fallait pas crier victoire trop vite. Ceux-ci étaient les premiers, il en viendrait d'autres, sur ce point elle pouvait faire confiance à son instinct de kunoichi. Elle aurait toujours un atout dans sa manche.

Elle regardait les deux shinobi, et ses yeux restaient posés sur les nuages d'un rouge sang qui ornaient leurs manteau. Akatsuki... Pour beaucoup de gens ce nom était de sinistre mémoire, autant que les massacres sanglants auquel il était associé. Mis à part cette marque distinctive, les deux shinobi avaient l'air curieusement anonymes, comme s'ils s'étaient dissous dans l'ombre dans laquelle ils vivaient. Tant mieux. Cela lui rendrait la tâche plus facile.

Un grand froid la saisissait soudain. Malgré toute la pitié et le remords qu'elle pouvaient ressentir, elle était d'abord et avant tout une guerrière, dévouée à son village. Elle remplirait sa mission, elle l'avait promis à Akura. Et si sa mission exigeait qu'elle tue ces deux êtres, et bien... elle les tuerait.

- Je vais vous montrer à quoi ressemblent de vraies lianes... Dôton !!! Daichi no Gôukyûu !!! Le Râle de la Terre Mère !!!

Akiyo leva les bras. Et la terre explosa.

Le sol devant la grotte s'était affaissé et ouvert pour laissait le passage à ses sinistres enfants. Bras levés aux ciel, tremblants, Akiyo palsmodiait un chant chaud et redoutable, encourageant de la voix la croissance des végétaux qui semblaient alimentés du chant de la Terre elle-même. Sous ses intonations rauques, ils poussaient à vitesse accélérée, devenant, de frêles pousses au doux reflets changeants et chatoyants, des plantes d'un vert sombre, aussi épaisses qu'un arbres centenaire. Et elle en contrôlait la moindre fibre grâce à son Chakra. Elle commença à les diriger vers les deux shinobi, en même temps qu'ils terminaient de pousser. L'opération demandait un effort de concentration considérable, et le front de la jeune kunoichi était trempé de sueur. Modulant son Chakra afin d'être en phase parfaite avec les plantes, elle tressa autour des deux corps des membres de l'Akatsuki un filet à côté duquel le leur aurait fait figure de toile d'araignée. Elle sourit. Elle le savait indestructible, infranchissable, en un mot invincible, car les plantes plongeaient leurs racines dans le coeur même de la Terre.

Elle stoppa la croissance peu avant la mutation finale. Elle gardait un très mauvais souvenir de ce qui était arrivé aux ninjas de Kumo sous l'emprise de cette technique, et elle ne souhaitait pas réitérer un tel carnage. Elle les voulait vivants... Pour l'instant. Elle avait quelques questions à leur poser, même si elle était consciente qu'ils ne sauraient pas tout, n'étant que des subordonnés.

A quelque pas d'elle, il y avait les deux shinobi, totalement immobilisés par l'entrelacs de lianes. Il ne pouvaient plus faire un seul geste, même le plus infime, et leur corps disparaissait sous les courbes vertes. Humaine, Akiyo leur avait dégagé un espace au niveau du nez, à peine de quoi laisser passer un souffle, et une fente au niveau des yeux pour qu'ils puissent la voir. C'était tout ce que l'on apercevait de leur peau. Elle s'approcha d'eux et prit la parole, leur parlant de son air le plus compréhensif.

-Je sais que vous avez été mandatés pour me tuer. J'ai donc compris que vous laisser la vie sauve ne sert à rien, puisque, à moins d'être des lâches, vous êtes tenus d'exécuter cet ordre. Mais j'aurais quelques petites choses à vous demander auparavant. C'était votre chef que j'étais venue voir. Où est-il? Et combien d'autres vont tenter de réussir là où vous avez échoué?

Elle laissa passer un instant de silence, puis reprit :

-Parlez, et votre mort sera douce. Dans le cas contraire, sachez bien que je n'aurai aucune pitié.

Elle les tenait parfaitement à sa merci. Ils ne pouvaient pas s'échapper. Akiyo leur jeta un dernier regard, et attendit.

[HRPG:] Je vois que j'ai passé la première barrière, Max, vivement la suite... ^^Souviens-toi de ne pas me faire agir.

Akiyo regardait le sol qui entourait la grotte de l'Akatsuki. Il était rougi de sang.

"Quel gâchis..."

Ils n'avaient pas parlé, à part peut-être pour demander grâce. Aussi bêtes que bornés. Ils n'avaient pas compris qu'il n'y avait aucune échappatoire. Ou bien ils ne savaient rien. Elle se rapprocha des corps. Avec des gestes doux et tremblants, elle regardait les rouleaux détaillant leurs rapports de mission. Elle en apprit ainsi un peu plus sur les multiples trafics de l'organisation. Mais cela n'était que des broutilles à côté de ce qui la préoccupait. Rien n'était dit dans toute cette paperasse, qui puisse remplir son propre rapport de mission. Elle eut un bref mouvement de rage, puis se reprit en souriant. Après tout, cela aurait été bien trop simple si elle était tombée dessus du premier coup...

Elle apprenait également leurs noms à tous les deux, calligraphié au bas des rouleaux. Sak. Et Ura. La vue des caractères lui fit un choc. Les voir nommés ne faisait qu'aiguiser la conscience de son acte terrible. C'étaient des humains. Ils avaient eu une vie, et à présent, par sa faute à elle, ils n'étaient plus. Et leur existence s'était achevée de la manière la plus horrible qui soit. Elle n'avait pas assassinée des ombres, de simples représentants d'une entité mauvaise, non, elle avait tué des hommes qu'elle pouvait identifier. Une action digne d'un monstre. Akiyo se laissa tomber par terre, comme vidée.

"Non!"

Akiyo se releva. Elle avait dû les tuer, et si elle ne l'avait pas fait, ils s'en seraient sans doute occupés. Elle les connaissait assez bien pour le savoir.

Elle le sentait, les autres membres de l'Akatsuki n'allaient pas la laisser s'en tirer à si bon compte. Elle était sûrement repérée, à présent. Et même si, d'après le premier combat, elle les jugeait très faciles à vaincre, mieux valait mettre toutes les chances de son côté... Son esprit de combattante s'était mis en marche. Elle serait prête, quoi qu'il advienne.

Consciencieusement, elle fit le ménage autour d'elle. Les plantes, qui, l'instant auparavant, emplissaient l'espace autour d'elle, se rétractèrent dans les failles immenses qu'elles avaient creusées. Elle ne voulait pas qu'ils surprennent sa technique. Toujours garder un atout dans sa manche...

La jeune kunoichi contempla le champ de bataille, à présent curieusement vide. Le sol était cisaillé de profonds sillons, comme blessé par les griffes d'une bête monstrueuse. Cela était effrayant à voir pour qui ne connaissait pas la raison du phénomène. Au milieu de l'aire, bien en évidence, étaient les corps mutilés de Sak et d'Ura, à peine reconnaissables tant ils étaient mal en point.

Akiyo sentit soudain une nouvelle source de Chakra. Celle-ci se rapprochait vite.

"Très bien. Le prochain arrive. Voyons voir ce qu'il a dans le ventre..."

Elle poussa un long soupir et sortit son katana, se plaçant en position de défense.

Dotoko avancait passiament puis commenca a voir le sol rempli de sang

il commença a marcher alors plûtot que courir . Dotoko regarda alors sont tatouage et la route en meme temps .Pourquoi ? pourquoi ragardai t-il tout le temps ce tatouage.Il fit alors un pas sur le sang , puis le sang rouge commenca à geler
Il marcha environ 50 à 100 metre quand il s'assit par terre .
Il atendait ...
Mais Akiyo aussi atendait.
... Il sentait que son chakra ne bougeait pas...Pourtant il ne se mit pas à avancer.
Akiyo devait sûrement sentir le chakra au loin ne plus bouger .
Ce fut comme ca pendant 19 minute Quand Dotoko pris un kunai et marqua un message .

Citation :

Il lanca se kunaï au loin . Il reparti alors en arrière rentra dans la salle de gauche.
et se fit une tasse de thé glacée puis atendant passiament l'intruse.
Il rentra lors vite fais dans la salle de droite dans cele de gauche
Il y avait une armoire Regarda alors les 4800 dossier qu'il contenais

J'ai déjà vu le visage de cette fille se dit-il.

Il ouvra le dosier de Ea et a la 4ème page trouva le dosier sur Akiyo
Il lit vite fais ce qu'il voulait savoir et posa tout ces papier et ses pièces d'identitées.
Il detruisa alors la salle avec des parchemin explosif
Il s'assit alors dans la salle de gauche en attendant Akiyo.

[HRPG] : Tiens, je suis une célébrité pour l'Akatsuki, moi, maintenant? Razz

Dotoko aime le thé? On va sûrement bien s'entendre...

Attente.

Malgré son ouïe décuplée, malgré tous ses sens en éveil, malgré le soin patient qu'elle accordait à l'étude de chaque centimètre de terrain, Akiyo commençait à s'ennuyer ferme. Elle regardait le ciel, préférant détourner les yeux du spectacle peu encourageant qu'elle avait laissé devant la grotte.

Là bas, au loin, son adversaire aussi attendait. Elle ne pouvait pas le voir, mais percevait nettement sa présence. L'aura s'était immobilisée.
Il était moins bête que les deux autres.

"Cela commence à devenir long.", se dit Akiyo en contemplant la lame finement ouvragée de son katana. Mais la plus grande vertu du ninja est la patience. Les épaules de la jeune kunoichi se relâchèrent quelque peu lorsqu'elle comprit que son mystérieux poursuivant n'avait pas dans l'idée de l'attaquer de sitôt, et, faute d'avoir mieux à faire, elle se mit à compter.

"Un..."
"Deux..."
"Trois..."

Arrivée à 12 435 683, et alors qu'elle pensait que, si l'autre ne se décidait pas, elle allait finir par passer elle-même à l'attaque, et tant pis pour les conséquences, son oreille capta un sifflement dans l'air. Se rejetant en arrière, elle attrapa du bout des doigts le kunai, au bout duquel le feuillet blanc palpitait comme une aile blessée.

Il était clair que son assaillant n'était pas prêt de passer à l'action. Abandonnant toute prudence, elle s'assit en tailleur sur le sol ravagé et commença à lire la note.
Elle disait :

Citation :: Femme venant de Ea je ne souhaite pas me battre
Si vous tenez vraiment a rencontrer le seigneur Itachi,
alors allez tout droit puis la première salle à gauche
Pour information ceci n'est pas un piège.
A aussi faites atention Sak et Ura exploseront dans les 30 minute qui suivent après leur mort .En fait on doit être à la 29ème minute...

Ses yeux s'agrandirent au fur et à mesure qu'elle prenait connaissance du message. Un pacifiste? Voilà qui était nouveau !!! Elle froissa le papier et le glissa dans l'une de ses poches, espérant bien cette fois ne pas avoir à combattre. Bien que le fait que l'homme ne chercherait pas à l'attirer dans un piège lui paraisse fortement discutable.
Devait-elle lui faire confiance?

Oh, et puis zut! Elle n'avait pas le temps d'entamer une réflexion de trois heures. Et puis, il était dans son caractère d'avoir confiance en la nature humaine. Elle continuait à le faire, même si elle avait souvent été déçue. C'était comme cela, même si certains auraient trouvé un peu niais cet aspect de sa personnalité. Elle irait, même si il s'agissait d'un membre de l'Akatsuki. Il serait toujours temps de se tirer d'affaire plus tard.

Elle jeta un dernier regard aux cadavres de Sak et d'Ura et quitta l'endroit au moment où le feu embrasait la nuit.

Akiyo n'eut plus d'hésitation à forcer le sceau de l'entrée. Elle pénétra dans la grotte, fit quelques pas. L'endroit semblait vide. Le claquement de ses chaussures résonnait sur le sol de pierre, et elle vérifia une dernière fois son armement.
S'arrêta avec un petit cri de surprise.
L'une des salles semblait avoir été vaporisée. De gros morceaux de roche jonchaient le couloir alentour, et un trou énorme creusait la paroi. Il y avait eu une salle ici auparavant, Akiyo l'aurait juré.
Et maintenant, il n'y avait plus rien.
La jeune fille s'approcha, trempa son index dans la suie qui maculait le plus gros des fragments, l'inspecta. Elle était encore chaude.

« Cela vient de se produire... »

Avaient-ils donc quelque chose à cacher?

La kunoichi continua sa route et s'arrêta sur le seuil de la salle de gauche, ainsi que lui avait recommandé la note. Elle glissa un regard à l'intérieur et découvrit Dotoko, tranquillement assis par terre. Il ne semblait pas agressif. Akiyo allait peut-être enfin pouvoir obtenir des renseignements...
Elle eut un sourire à l'intention de l'autre, et lui demanda :

-Vous m'attendiez?

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